1.10.09

SISSI, REINE DE HONGRIE
conférence de Monsieur Jean des CARS

le vendredi 20 mars 2009 à 18h00
amphithéâtre de l'Ecole Supérieure de Commerce
(29, rue Sambin 21000 DIJON)


La conférence sera suivie d'une séance de dédicaces de Monsieur Jean des CARS pour son livre Sissi ou La fatalité (Editions PERRIN).


Une seconde séance de dédicaces aura lieu le samedi 21 mars, à partir de 15h00, à la Libraire GRANGIER (14, rue du Château 21000 DIJON). De nombreux ouvrages de Monsieur Jean des CARS y seront présentés.


BIOGRAPHIE DE JEAN DES CARS
(texte fourni par les Editions PERRIN)

Né à Paris et résidant à Paris, il descend d’une des plus vieilles familles de France, originaire du Limousin, fidèle à la monarchie des Bourbons et dont plusieurs membres ont été, à travers les siècles, serviteurs de l’Etat ; le village Les CARS, aujourd’hui dans le Département de la Haute-Vienne, est à une trentaine de kilomètres de Limoges. En 1830, le Général Duc des Cars commandait l’un des trois corps d’Armée qui débarqua à Sidi-Ferruch, en Algérie. Refusant de prêter serment à Louis-Philippe, le Duc des Cars se retira sur ses terres, conspira contre la Monarchie de Juillet. Aide-de-camp de Charles X, il fut un intime de la Duchesse de Berry, très présent dans la région de Châtellerault dans le souvenir de son ancêtre qui avait construit, de ses deniers, les maisons de la Ligne Acadienne, auquel deux institutrices ont rendu hommage dans un récent travail historique qui a ému Jean des Cars, lors d’un de ses séjours dans la région.

Jean des CARS est le fils unique du célèbre romancier Guy des CARS qui, en cinquante cinq ouvrages, a conquis cent millions de lecteurs dans vingt six pays. De son père, disparu le 21 décembre 1993 et qu’il vénère parce qu’il était “un authentique artisan du roman populaire” (tous ses ouvrages sont progressivement réédités en format de poche depuis 2007 : douze titres étaient, de nouveau, disponibles à l’été 2008), Jean des CARS a hérité le goût de l’écriture, du récit, de la construction rigoureuse à laquelle s’ajoute la recherche à dominante historique.

Après sa Licence en Droit à la Faculté de Paris, souhaitant devenir avocat, il est auditeur à l’Académie de Droit International de la Haye mais, selon son aveu, “il tourne mal” et entre, fortuitement, dans l’univers du journalisme. En 1965, il est Secrétaire de Rédaction dans le groupe des publications de l’industriel Jean PROUVOST (à l’époque PARIS-MATCH, MARIE-CLAIRE, TELE 7 JOURS), apprenant le métier auprès de professionnels prestigieux comme Gaston BONHEUR, Raymond CARTIER et Roger THEROND. Puis, reporter-rédacteur à MATCH, il se passionne pour l’aventure de l’actualité et obtient plusieurs entretiens avec diverses personnalités.

Parallèlement, pour compenser le caractère éphémère d’un magazine, fût-il de large audience, parce qu’un numéro chasse l’autre, il se plonge dans des enquêtes historiques. En 1975, paraît son premier livre, une biographie très renouvelée pour le public francophone “LOUIS II de BAVIERE ou le Roi Foudroyé” (Perrin), devenu un ouvrage de référence sur le sujet, traduit au Japon, en Italie, en Pologne et constamment réédité, en particulier en mai 2005 avec un nouveau cahier d’illustrations en couleurs et divers ajouts. L’excellent accueil réservé par le public et la critique, ainsi qu’un prix de l’Académie Française, décident de sa double orientation, à la fois vers la Presse généraliste et l’Edition, autour de grandes figures du passé. Jean des CARS se situe résolument au carrefour de l’actualité d’hier et de l’histoire d’aujourd’hui, mêlant à ses recherches des reportages sur les lieux où ont vécu ses personnages, apportant des inédits et la réflexion de l’historien sur des héros ou des lieux mythiques dont la connaissance a évolué.

Pour cet auteur, l’histoire est une science vivante, nullement figée. Il n’est jamais facile de se faire un prénom; Jean des CARS y parvient à force de travail et de talent, après avoir dédié son premier livre à son Père.

En 1978, appelé par la direction du FIGARO MAGAZINE, il rejoint l’équipe de ce journal comme Grand Reporter et devient l’une de ses signatures appréciées. Envoyé Spécial, il voyage au Japon, au Chili, au Brésil, en Afrique Centrale mais reconnaît une prédilection pour l’Europe. Il obtient un entretien exclusif avec le Prince de Galles à Buckingham Palace avant son mariage avec la future célèbre Lady Di...

La même année, Jean des CARS publie la première biographie du célèbre mais méconnu Préfet de la Seine de 1853 à 1870, le baron Haussmann, fondé sur des archives familiales inédites. Ce livre « HAUSSMANN, LA GLOIRE DU SECOND EMPIRE » obtient le Prix HISTORIA décerné par la célèbre revue. Il a connu quatre rééditions dont la dernière dans le cadre des manifestations commémorant, en 2008, le bicentenaire de la naissance de Louis-Napoléon Bonaparte, premier Président de la République Française élu au suffrage universel et devenu l’Empereur des Français, Napoléon III.

Le livre de Jean des CARS, « SISSI ou La Fatalité », paru en 1983 (Perrin), est nourri de révélations spectaculaires après cinq ans d’enquête dans les pays alors peu accessibles du monde communiste. Il est immédiatement un best-seller francophone, dans les listes des meilleures ventes pendant dix neuf semaines puis traduit en espagnol, en japonais (où il a même été aussi adapté en bande dessinée !) et, ce qui est très rare pour un auteur français, en hongrois. L’ouvrage obtient le prestigieux Prix des Ambassadeurs, décerné chaque année par un jury, unique au monde, composé de Chefs de Missions Diplomatiques accrédités en France. Le premier écrivain distingué par le Prix des Ambassadeurs, avait été, à titre posthume, Antoine de SAINT-EXUPERY. Parmi ses lauréats plus récents, Hélène CARRERE D’ ENCAUSSE, Alain DECAUX, Jean LACOUTURE et Alain PEYREFITTE.

Voyageur dans l’âme et attentif à un art du voyage de qualité, Jean des CARS publie divers albums, illustrés de superbes photographies, qui sont à la fois des guides historiques, touristiques et pratiques: LES CHÂTEAUX FOUS DE LOUIS II DE BAVIERE, SUR LES PAS DE SISSI (traduit en allemand), SUR LES PAS DE MOZART, SUR LES PAS DES TSARS A SAINT-PETERSBOURG, plusieurs fois réimprimés. Fasciné par les grands trains internationaux et animateur d’émissions de radio et de télévision sur les palaces du rail, Jean des CARS a publié, en collaboration avec Jean-Paul CARACALLA (Denoël), des volumes qui font rêver: L’ORIENT-EXPRESS, couronné par l’ Académie Française, traduit en allemand, en anglais et en italien; LES TRAINS DES ROIS ET DES PRESIDENTS et LE TRANSSIBERIEN. Jean des CARS a accompli et organisé plusieurs périples exceptionnels, en train de luxe spécial, de Pékin à Moscou et Saint-Pétersbourg soit 10 000 km en 16 jours en traversant, notamment, la Mongolie et le désert de Gobi. Il connaît bien l’univers des grands express mythiques puisqu’en 1974, il avait été engagé, incognito, après avoir suivi un stage théorique et pratique, comme conducteur des Wagons-Lits de Paris à Istanbul. “Mon arrière grand père ne pouvait pas voir partir un train qui allait loin sans monter à bord !” confie l’arrière-petit-fils du Duc des CARS.

Jean des CARS écrit des chroniques, des points de vue et des récits régulièrement publiés par LE FIGARO, LE FIGARO MAGAZINE, LE FIGARO HORS-SERIE, LE SPECTACLE DU MONDE, FRANCE-SOIR et HISTORIA.

En 1994, Jean des CARS publie “MALESHERBES GENTILHOMME DES LUMIERES” (Editions de Fallois), un volume fondé sur des archives familiales inédites retraçant le destin du haut-magistrat qui présenta des “Remontrances” à Louis XV, fut Directeur de la Librairie, c’est à dire de la Censure mais protégea les Encyclopédistes et leur œuvre gigantesque puis fut chargé, par Louis XVI, d’élaborer le statut des Protestants et, à la veille de la Révolution, celui des Juifs. Courageux et sans concession à la Terreur, Malesherbes demanda à la Convention de défendre la Roi. Il fut, lui aussi, guillotiné après avoir vu, horrifié, périr sur l’échafaud toute sa famille, dont ses petits-enfants. Le livre de Jean des CARS a reçu le Grand Prix de la Biographie d’ Histoire de l’Académie Française. En 2001, il signe une biographie de l’épouse mal aimée de Napoléon III “EUGENIE, LA DERNIERE IMPERATRICE” (Perrin). L’ouvrage est traduit en espagnol en raison des nombreux inédits qu’il révèle et reçoit, en France, le Grand Prix de la Fondation Napoléon pour le Second Empire tandis que celui du Premier Empire est attribué à Dominique de Villepin pour son récit des “Cent-Jours”.

Le 10 décembre 2003, Jean des CARS a été l’invité de la célèbre émission française de télévision “ DES RACINES ET DES AILES”, sur FRANCE 3, pour raconter le destin de Sissi, complétée d’un entretien avec Patrick de CAROLIS, depuis la Bibliothèque Nationale Autrichienne, sise dans le Palais Impérial de Vienne, spécialement éclairée. Le programme comportait des reportages inédits qui ont été tournés avec Jean des CARS et grâce à lui en Autriche, en Hongrie et en Suisse où l’on a découvert des trésors jamais ou rarement montrés. On y a admiré la véritable Sissi, à partir du mythe véhiculé par le Cinéma mais où l’Histoire de cette femme fascinante a repris ses droits. Cette émission a battu un record d’audience pour cette série: 5 600 000 téléspectateurs. Elle est la seule de la série qui ait été, à ce jour, commercialisée en DVD pour les dix du « FIGARO HORS SERIE ». L’émission a été rediffusée le 20 juillet 2005 sur FRANCE 3. Avec cette même équipe, il a été le scénariste et le mentor d’un film de 52 minutes sur les châteaux de Louis II de Bavière riche de séquences fortes et permettant au téléspectateur de découvrir des pièces, des réserves, des coulisses et des secrets jusque là interdits au profane. Il a été diffusé à plusieurs reprises fin 2005, sur France 5.

Tout en continuant de concevoir et d’animer des voyages à thèmes historiques et d’intervenir comme conférencier lors de Croisières, Jean des CARS a publié, en octobre 2004 “RODOLPHE ET LES SECRETS DE MAYERLING »” (Perrin), une contre-enquête spectaculaire sur l’énigmatique mort de l’Archiduc héritier d’Autriche-Hongrie le 30 janvier 1889. Jusqu’ici, le décès du seul fils de François-Joseph et de Sissi était présenté comme l’issue tragique d’un roman d’amour scandaleux et impossible. L’auteur, qui a eu accès à des sources longtemps occultées en Europe Centrale, démontre que la thèse du double suicide n’est pas crédible, confirmant les révélations exclusives que l’Impératrice et reine ZITA avait confiées à Jean des CARS lors de son retour à Vienne en novembre 1982. L’hypothèse d’un assassinat, peut-être pour des raisons politiques, de dimension européenne semble désormais la plus vraisemblable. Le livre de Jean des CARS a été l’un des succès de l’ Edition de l’hiver 2004-2005. Il totalise, à ce jour, quatorze éditions et a dépassé le cap des 65.000 exemplaires.

Le Professeur Jean Tulard, Président de l’Académie des Sciences Morales et Politiques en 2005 (Institut de France) a demandé une Communication à l’historien, prononcée le 7 mars 2005 dans la salle de réunion de l’Académie Française, en présence de hautes personnalités, dont S.A.I. la Princesse Napoléon et d’un auditoire diplomatique nombreux. Dans un cycle consacré au “Mensonge en Histoire”, l’orateur invité avait choisi d’étudier les raisons et les modalités de l’image trop souvent négative du règne de Napoléon III, sous le titre: “Les Historiens et la Légende Noire du Second Empire”. Il en a profité pour rétablir la vérité sur Victor Hugo, plutôt ingrat et à la mémoire courte... Attentif à la douleur des blessés de la vie, Jean des CARS a exercé, pendant plusieurs années, une mission bénévole de Porte-Parole des Œuvres Hospitalières Françaises de l’Ordre de Malte. Tournées de conférences, émissions de radio, de télévision (dont une avec Frédéric MITTERAND) et entretiens avec la presse écrite ont permis de mieux faire connaître l’action et le message de la plus ancienne organisation humanitaire du monde.

En avril 2005, à l’occasion du décès du Prince Rainier III de Monaco, Jean des CARS, qui l’avait bien connu, a été l’invité de nombreuses émissions de radio et de télévision. Il a commenté, sur France 2, les obsèques du défunt monarque le vendredi 15 avril et sur Télé Monte-Carlo l’intronisation du Prince Albert II le 12 juillet puis présenté la soirée de son avènement à l’Opéra de la Principauté le 19 novembre 2005. Son livre sur Monaco, a été mis à jour et enrichi d’un chapitre inédit “Rainier III, le Patron” et l’ouvrage réactualisé, par un tour de force technique, a été remis en vente en cinq jours sous le titre “S.A.S. Rainier III et Monaco”, sous-titré “700 ans d’histoire des Grimaldi” (Edtiions du Rocher).Tirage: 16 500 exemplaires dont 12 000 étaient déjà vendus (fin avril 2005). Une adaptation télévisée en a été réalisée en novembre 2005.

Le livre de Jean des CARS “LE ROMAN DE VIENNE” (Editions du Rocher, parution novembre 2005) a rendu hommage à la capitale autrichienne au moment où elle a présidé l’Union Européenne (trois éditions; sortie en format de poche, collection TEMPUS, en mars 2008). Son livre illustré “ SUR LES PAS DE MOZART” a également été réédité et mis à jour à l’occasion du 250ème anniversaire de la naissance de ce génie surdoué de la Musique. (Parution fin octobre 2005, deux réimpressions, Editions Perrin).

Depuis le 1er janvier 2006, France Inter a demandé à Jean des CARS de rejoindre l’équipe de l’émission “ Au fil de l’Histoire ” , animée entre autres par Henri AMOUROUX (disparu à l’été 2007), Jean FAVIER et Jean TULARD, de l’Institut, diffusée chaque dimanche de 13 heures 30 à 14 heures, qui a succédé à la célèbre émission La Tribune de l’Histoire d’André Castelot, Alain Decaux et Jean-François Chiappe. A tour de rôle, un auteur raconte, dans un texte interprété par d’excellents comédiens, un épisode historique.

L’avant-dernier ouvrage de Jean des CARS est une promenade romantique, littéraire, cinématographique, artistique, politique et technique mêlant les aventures cocasses, dramatiques, amoureuses et exploits historiques en tous genres et tous authentiques: le “DICTIONNAIRE AMOUREUX DES TRAINS ” dans la célèbre collection publiée chez Plon (Quatre éditions, deux éditions dans le Club France-Loisirs à l’hiver 2007-2008). Un livre qui se « picore » pour voyager sans fatigue !

Le nouveau livre de Jean des Cars, sorti à la mi-mai 2008 , « LA SAGA DES ROMANOV »,chez Plon, raconte l’histoire de la dynastie impériale russe, de Pierre le Grand à Nicolas II, mais démontre surtout, y compris avec des photos à l’appui, l’extraordinaire œuvre de réconciliation historique entreprise en Russie depuis dix ans, en particulier par le président Poutine, qui a eu le courage d’unifier les Russes face à tous leurs passés.

Après soixante dix ans d’occultation et de mensonges, le destin de la famille impériale fait, de nouveau, partie de l’histoire officielle. Une statue du tsar Alexandre III a même été remise en place à Irkoutsk il y a trois ans et inaugurée par un ministre du gouvernement russe.

Ce livre, à contre-courant de l’opinion caricaturale manipulée par des média,s est un récit historique à la lumière de l’actualité, surprenante mais très argumentée, que Jean des Cars connaît, observe et analyse depuis vingt-cinq ans, en Union Soviétique puis dans la Russie de MM. Gorbatchev, Eltsine et Poutine.

Ce volume connaît un grand succès : il est entré, en quinze jours, dans la liste des meilleures ventes et a connu onze réimpressions.

Les voyages à thèmes animés par Jean des CARS en 2008 : Les Emirats Arabes Unis et le Sultanat d’Oman ; La Pouille, une Italie entre l’Occident et l’Orient ; L’Ouzbékistan sur les pas de Shéhérazade et de Tamerlan ; Vienne, le cœur battant de l’ Europe ; Le Monténégro, une synthèse des Balkans ; Vérone entre l’opéra et les Villas Palladiennes et un nouveau fascinant périple ; Pékin-Moscou à bord d’un Transsibérien de luxe, train spécial, via la Mongolie ; L’Inde des Maharadjahs et des Grands Mogols (douze jours au Rajastan) ; Réveillon de la nouvelle année 2009 : Florence et les trésors des Médicis.


LA VISITE DE JEAN DES CARS A DIJON

Le séjour de Jean des CARS à Dijon a débuté par un accueil particulier sur le quai de la gare. Amoureux des trains et auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet, il s'est vu remettre un présent de la part de la Direction Régionale de la S.N.C.F., par l'intermédiaire de Monsieur Yves MARINOT, responsable de la communication.
Puis, Madame Eliane LOCHOT, directrice des Archives de la Ville de Dijon, a proposé à notre invité une rapide visite de ses collections, conservées dans le fastueux Palais des Ducs et des Etats de Bourgogne, dans la salle aménagée au 18ème siècle, sous l'Escalier Gabriel, pour les archives des Elus. Elle lui a notamment présenté des décors peints utilisés lors du passage de Napoléon III à Dijon les 23 et 24 août 1860, documents qui l'ont énormément interessé et dont il a demandé des clichés. Rappelons que Jean des CARS est un grand spécialiste du Second Empire et notamment de ses figures illustres : l'impératrice Eugénie, la princesse Mathilde, le préfet Haussmann...
Après un passage à l'Hôtel de la Cloche, où notre intervenant était invité par Monsieur Antoine MUÑOZ, directeur du palace dijonnais, nous nous sommes rendus à l'Ecole Supérieure de Commerce de Dijon où se tenait la conférence. Pendant près d'une heure et demi, près de 75 personnes ont eu le plaisir d'écouter Jean des CARS leur raconter l'histoire de cette petite princesse bavaroise devenue la mythique Sissi, impératrice d'Autriche... et reine apostolique de Hongrie. L'auteur nous a expliqué tous les liens noués entre l'actuelle Budapest, le peuple magyar et leur reine bien aimée, disparue tragiquement en 1898. Nombreux sont ceux qui sont restés pour assister à la séance de dédicaces organisée par la Librairie Grangier et échanger quelques mots, parfois même de longues conversations, avec Jean des CARS.
La soirée s'est terminée par un sympathique dîner, en petit comité, aux Caves de la Cloche, où Monsieur MUÑOZ avait fait préparer pour nous un menu à consonances hongroises : copieuse assiette de charcuterie, plat principal inspiré du fameux goulash, crêpe fourrée au chocolat et aux fruits secs... dont notre invité nous a assuré que c'était l'un de ses desserts favoris et la spécialité du restaurant Gundel, où certains d'entre nous auront l'occasion de déjeuner en septembre prochain. Comme pour la conférence, Jean des CARS a su tenir en haleine son auditoire, en évoquant nombre d'histoires ou anecdotes concernan sa vie et les personnalités qu'il a eu l'honneur de rencontrer.
La journée du samedi 21 était tout aussi passionnante, débutée par une promenade culturelle dans le centre historique de notre bonne ville de Dijon, poursuivie par un déjeuner offert à Jean des CARS par le restaurant Le Petit Roi de la Lune, terminée par une rencontre à la Librairie Grangier, animée avec brio par Madame Nathalie MACIA, responsable de la communication de la librairie, et complétée par uen seconde séance de dédicaces, aussi réussie que la première.
Nathalie MACIA et moi avons ensuite raccompagné Monsieur des CARS à la gare, où il est gentiment restré discuter avec nous, sur le seuil du wagon, jusqu'au départ du train. Une attention qui a confirmé notre attachement à ce personnage si sympathique et généreux, qui nous a promis de revenir nous voir à Dijon.










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